S'élevant contre la culpabilisation des consommateurs de viande, l'essayiste remet en perspective le débat sur le mouvement végan et appelle les militants à s'en prendre aux financiers plutôt qu'aux éleveurs, aux bouchers et aux consommateurs.
A l'encontre des idéologies du progrès et de la croissance, cet essai propose de réinventer l'avenir autour de l'idée de gratuité. A partir d'une lecture systématique des courants de gauche, il revient sur le débat qui oppose les partisans du productivisme et de l'antiproductivisme. La question écologique apparaît comme l'occasion d'inventer une gauche antiproductiviste et optimiste.